Q : L’ARC, c’est du coaching ou de la thérapie ?
R : c’est une méthode qui s’applique à des individus et des situations très variées. Le coaching et la thérapie ont le même objectif : provoquer des changements afin de permettre à la personne de mieux se comprendre, de faire des choix bénéfiques pour elle et de se sentir sereine et en pleine possession de ses moyens. La frontière est donc ténue et un peu rhétorique. A mes yeux, la vraie frontière est celle de la maladie psychique nécessitant une prise en charge médicale. Dans ce cas je n’interviens pas, ou bien en accord avec un médecin.
Q : Y at-il des gens qui ne sont pas hypnotisables ?
R : Non, mais il y a des gens qui ne veulent pas être hypnotisés ! et cela ne se fait jamais contre la volonté du patient. Mais dans le cadre d’une thérapie, c’est une information intéressante et utile. Elle peut permettre de comprendre quelle est la crainte et ainsi de résoudre une partie des difficultés.
Q : A quel genre de problématique l’ARC ne s’applique-t-elle pas ?
R : Aucun, mises à part les pathologies mentales relevant d’un traitement médical
Q : Est-ce que je peux choisir de ne faire que de l’hypnose, ou que de l’ANC, ou que de l’EFT ?
R : Oui bien sûr, la démarche reste la même. C’est un travail qui se fait à 100% dans le respect de votre rythme et de votre confort (ou de votre tolérance à l’inconfort).
Q : Si je veux juste arrêter de fumer, est-ce qu’il est nécessaire d’appliquer l’ARC ?
R : Oui. Les 4 étapes que je décris vont par exemple parfois avoir lieu dans la même séance et inclure un protocole d’hypnose. C’est une logique d’approche rigoureuse mais pas rigide.
Q : combien de séances faut-il pour résoudre un problème ?
R : On ne peut pas le prévoir sans avoir clairement posé l’objectif, mais je donne une estimation au cours de la première séance, en fonction de la problématique. Il faut en prévoir au moins 3, et rarement plus de 10.